Critiques spectateurs de Helly Billy

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Tape 407

Tape 407

Film pénible, un peu comme tous les films du genre d'ailleurs. Ne pas avoir de budget est une chose, ne pas avoir d'idées en est une autre. Pourtant, le scénario semblait prometteur, mais voila, on tombe rapidement dans les clichés, toutes les scènes de ce film, vous les aurez vues ailleurs une bonne douzaine de fois, et en mieux. Rien de bien original donc. J'ajoute que le doublage français est exécrable, on y croit pas, mais alors pas une seule seconde... à éviter...

4

Publié le 19 Juin 2013

Paranormal Activity 2

Paranormal Activity 2

Si les portes qui claquent vous fichent la pétoche... Si les casseroles qui bringuebalent vous terrifient... Si vous avez la phobie des robots-nettoyeurs de piscine qui bougent tout seuls... Alors félicitations, vous êtes des trouillards de première catégorie et, à n'en pas douter, cette péloche soporifique vous ravira ! Pour les autres, passez votre chemin, rien à voir ici, la seule question en suspend était de savoir s'ils pourraient torcher un film encore plus bête, absurde et ennuyeux que le premier opus. Sans surprise, la réponse est oui.

6.51613

Publié le 30 Janvier 2011

My Soul to Take

My Soul to Take

Sans doute le pire film de Wes Craven, c'est bien simple, par moment on croirait du David Decoteau... Aussi, amis amateurs de frissons, passez votre chemin, rien à sauver dans cette péloche, le scénario est invraisemblable, le suspense, absent, et les meurtres visuellement indigents. Sans parler d'un final qui fleure quand même méchamment le foutage de gueule. Déçu, déçu, déçu...

6.5625

Publié le 10 Décembre 2010

La Chute de la Maison Usher

La Chute de la Maison Usher

...Qu'on fait les pires soaps !

Jugez un peu, un fils à papa neurasthénique essaie de se taper la blonde amie de sa sœur fraichement mise en bière ("Mmmm...Bièèèère !" Arf ! Homer Simpson, sors de ce corps !!!!). Là dessus, la gouvernante revêche tente de foutre la chaudasse dehors, la blonde, elle, commence à voir des fantômes et son aimé nous gratifie, en voix off, de ses inspirations artistiques (le gugusse se prend pour un écrivain, à mourir de rire...). Bref, c'est d'un ridicule achevé. On s'emmerde sévère à la vision de cette péloche mal gaulée, étron pelliculé que l'on doit à un certain Hayley Cloake (ça ne s'invente pas !) qui se trouve être plus proche d'un épisode de Melrose Place que du chef d'œuvre d'Epstein. Bref, pour faire court, circulez bonnes gens, y a rien à voir...

4

Publié le 12 Novembre 2008

The Cavern

The Cavern

Ben c'est pas dans cette caverne-là qu'il se planque, essayez encore !!!

Dialogues cacophoniques, mise en scène épileptique, photographie infâme (Si vous souffrez d'insomnie, vous pourrez toujours compter les reflets foireux, si après ça vous ne piquez pas du nez, c'est vraiment que vous le faites exprès...), vannes pas drôles, twist final complètement naze, difficile de trouver autre chose que des défauts à ce métrage. A la limite, il aurait pu y avoir cette chouette scène dans laquelle deux nanas revêtues de peaux de bêtes se réveillent dans la tanière de la "créature" (d'après un des spéléos qui devait avoir la vue particulièrement basse, un hybride mi-ours, mi-loup ! Arf !) et se jettent sur un truc en train de rôtir pour s'en repaitre goulument, le truc en question, on le verra lorsque la broche aura tourné, étant un de leur collègue, mais bon, vu qu'elles nous jouent ça comme des chèvres... Mon conseil, tant qu'à passer une heure et demie dans une grotte, choisissez-en une avec du po*Biiiiiiiiiiiiiiiip*il autour, vous ne perdez pas au change !

4.75

Publié le 9 Novembre 2008

La Chaise du Mal

La Chaise du Mal

Après un Broken qui sentait gravement le faisandé, Mason nous revient avec une histoire de chaise diabolique ma foi assez alléchante, jugez plutôt du pitch, un type et sa copine décident de s'envoyer en l'air dans un asile abandonné, manque de bol la donzelle pose ses fesses rebondies sur un fauteuil démoniaque et là, tadam, elle disparait après avoir copieusement aspergé son pote d'hémoglobine. Puisque Houdini ne se trouvait pas dans les parages, notre gaillard se retrouve aussi sec accusé de meurtre et interné dans un autre hôpital psychiatrique, histoire sans doute de ne pas trop le dépayser. Voila qu'interviennent un prof d'université et quelques-un(e)s de ses étudiant(e)s, qui projettent de libérer notre infortuné de ses fantasmes de rocking chair assassin en l'embarquant pour un gentil pèlerinage sur les lieux du drame. Mauvaise idée, comme vous vous en doutez. Raconté pour partie en voix off - l'aliéné narre ses souvenirs de l'escapade - le film pâtit de certains tics de réalisations, les arrêts sur images notamment, particulièrement pénibles. De plus, on est forcément un peu déçu par le revirement principal du film, facile, un brin méprisant pour les spectateurs et pas spécialement crédible, sans parler de la scène finale qui vire franchement au grotesque. A côté de cela, le film offre un paquet de scènes de flippe fichtrement bien goupillées et rien que pour ça, ça vaut le détour, la photo est soignée, les décors au taquet (par moment, ça rappelle carrément le clip vidéo du "Breathe" des Prodigy) et le fauteuil a vraiment un look d'enfer, sans jeu de mots, il fait d'ailleurs un peu penser, dans sa fonction, au cube d'Hellraiser puisque lui aussi ouvre, d'après les dires du narrateur, une porte sur un monde parallèle, véritable enfer labyrinthique où sévit une affreuse bestiole. En conclusion, une petite série B bien sympa, dommage pour la fin...

6.14286

Publié le 28 Octobre 2008

Mother of Tears

Mother of Tears

Après Le sang des innocents et Card player, voici donc la Terza Merda...eee...Pardon, la Terza Madre, (fichue dyslexie ! *arf*) de Dario Argento, et c'est une lapalissade de dire que ce métrage, clôturant la trilogie des trois mères était attendu, la bave aux lèvres, par les aficionados du maestro. Aussi, dire que ce film est une déception est un doux euphémisme, Argento nous y inflige un scénar' paresseux, se vautre dans le gore bouffon (alors qu'il fustigeait Eli Roth pour ses excès dans Hostel et sa suite, un comble !) et peine visiblement à donner de la poigne à sa direction d'acteurs, Asia Argento, visible ou invisible (pfff...) est transparente, les sorcières, une meute de donzelles plus proches de la péripatéticienne de base que de Baba Yaga, font vraiment pitié, les flics, de véritables clichetons sur pattes, grillent sans enthousiasme leurs derniers neurones à essayer de deviner qui qu'à fait le coup, de fait, le seul comédien à tirer son épingle du jeu est sans conteste le macaque qui accompagne les tueurs de Mater Lachrymarum, affligeant... Le réalisateur désirait, dit-il, faire un film différent de Suspiria et d'Inferno (Et là, il faudrait que quelqu'un m'explique l'intérêt de casser l'unité artistique d'une trilogie en torchant un dernier film radicalement à l'opposé des deux premiers), et de ce point de vue il a pleinement réussi, la Terza Madre n'a ni le génie, ni la folie de ses glorieux prédécesseurs. Ce film ne mérite rien sinon les sifflets et les quolibets. Nul irrémédiablement...

5.77419

Publié le 27 Octobre 2008

Une Virée en Enfer 2

Une Virée en Enfer 2

...Enfin, sauf lorsqu'ils se font tirer leur bagnole du dimanche par un quatuor de baltringues en partance pour Vegas, là, ils ont vraiment la haine les routiers. Revoilà donc notre vieux Clou Rouillé aux prises avec des ados mal embouchés, rien de neuf sous le soleil, le camionneur fait toujours mumuse avec sa cibie, histoire de foutre la pétoche aux délinquants qu'il poursuit et démontre par l'exemple qu'il a bien retenu les leçons de son pote Jigsaw puisqu'il décide de soumettre ses nouveaux amis à une série de tests vraiment vachards. Le film se laisse regarder, sympatoche sans être révolutionnaire, et ce, en dépit de choix scénaristiques paresseux, d'un moralisme sous-jacent particulièrement pénible et d'une fin archi-ultra-méga-conventionnelle A noter, une chouette scène de décapitation par remorque de camion ainsi qu'une partie de dés aux règles ignobles, summums de cette petite série B qui, mine de rien, surfe gentiment sur la déferlante torture porn.

6.33333

Publié le 16 Octobre 2008

Gutterballs

Gutterballs

Prenez une troupe de porn stars grimées en joueurs de bowling, un tueur avec un sac sur la tronche, des boudins qui se désapent, des dialogues intégralement vulgaires (essayez un peu de répéter bite-couille-enculé-chatte-tapette toutes les dix secondes et vous aurez une petite idée de la chose), un twist final qui pue la mort, secouez le tout vigoureusement et vous obtiendrez ce vilain petit slasher, total eighties, baptisé Gutterballs. Alors ? Bouse totale ou Chef d'œuvre underground ? Les deux mon capitaine, d'un coté on doit se coltiner un scénario qui tiendrait sur une feuille de papier à rouler, une tripotée d'acteurs pathétiques et une enfilade continuelle d'insultes et de grossiertés (ça va bien cinq minutes mais sur une heure et demie, pfff...), de l'autre, on a droit à des meurtres vraiment chiadés et imaginatifs, une véritable foire à la trippe, sans parler de l'ultime mise en scène qui rappellerait presque, dans l'esprit, le final du "Bloody Bird" de Soavi. Voila, voila, mention : Peut mieux faire !

6.05263

Publié le 16 Octobre 2008

Five across the eyes

Five across the eyes

Shooté en DV (Et qui dit DV dit...Calamité ! Merci de suivre !) pour cause de bourses plates, les deux réalisateurs - c'est qu'ils s'y sont mis à deux, les bougres, pour nous torcher un machin pareil - nous narrent les péripéties nocturnes de cinq donzelles qui ont malheureusement embouti une voiture en stationnement. Pas de bol, la tire en question était celle d'une foldingue meurtrière, et cette dernière, vexée qu'on lui ait pété un phare, va se lancer à leur poursuite sur un chemin de terre pendant une heure et demie. Comme si ce scénar' navrant ne suffisait pas, les apprentis cinéastes nous gavent de mouvements de caméras aberrants et de cadrages foireux, l'image est moche, lorsqu'elle n'est pas floue, et le montage, apocalyptique, chahutera les estomacs les mieux arrimés. Alors ? Pourquoi mettre la moyenne à un gros Z mal foutu ? Simple, moi les dialogues à côté de la plaque et les situations débiles (lancer de merde, de cendres funéraires, sur la voiture poursuivante...), j'adore, démonstration, nos nénettes récupèrent une de leur congénère, tombée précédemment entre les griffes de la psychopathe :

"Elle est en état de choc"

"ça veut dire quoi ?"

"ça veut dire qu'elle répète des trucs !"

Ah ! Ah ! Ah !

Sans oublier quelques répliques impayables, il faut entendre notre cinglée, fusil au poing, hurler :

"Je vais vous transformer en poupées sexuelles pour pervers nécrophiles."

Bon, c'est clair, ce n'est pas la péloche du siècle, scénaristiquement autant que techniquement, c'est d'une faiblesse absolue, mais j'ai bien ri. Le film aurait gagné, au lieu de rester le cul entre deux chaises, à choisir franco la comédie horrifique qui tache, mais ce n'est que mon humble avis...

4.5

Publié le 6 Octobre 2008

House 3 : The Horror Show

House 3 : The Horror Show

Après un second opus foireux et shooté comme un Disney, on se disait que le troisième volet de la série la plus hétéroclite du cinoche d'horreur (Nonobstant les phénomènes de hantise dans une sale baraque, zéro point commun...) ne pourrait guère faire pire. Et c'est un fait, la péloche se laisse regarder, bon, bien sûr, il faut se farcir ce psychopathe qui joue comme une bouse et ricane comme Peter Griffin, supporter cette scène, insoutenable (arf!), où Henriksen donne la réplique à une chaudière parlante, mais voyons le bon côté des choses, les hallucinations de l'ancien flic ont vraiment de la gueule, ça sent le Freddy Krueger à plein pif, et la scène de la chaise électrique fait immanquablement penser à celle du film Shocker, sorti un peu plus tard, la même année. Dans l'ensemble c'est donc plutôt pas mal même si, clairement, ça ne fera jamais oublier le premier volet de la série, Miner rules !!!

8

Publié le 3 Octobre 2008

Breathing Room - L'exutoire

Breathing Room - L'exutoire

Mouais, moi je dirais plutôt entre House of nine et le regrettable Aquarium, et encore, je suis gentil. La photo est médiocre, les cadrages confus, les acteurs en font des caisses, quant au pitch : comment sortir d'une pièce close avec une bouteille d'alcool, un marteau et deux moitiés de clefs, bah, j'imagine que c'est le genre de truc qui doit bien faire kiffer les fans de MacGyver, les spectateurs lambdas, beaucoup moins... Et l'explication finale me direz-vous ? Ben y en a pas, merci pour les ronds et bonjour chez vous ! Donc, à moins que vous n'ayez envie de passer une heure et demie bouclé avec quatorze têtes à claques, préférez les originaux à la pseudo-copie...

5.83333

Publié le 3 Septembre 2008

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