Critiques du film Frostbiter ([field_annee])

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Fear Street - Partie 2 : 1978

Fear Street - Partie 2 : 1978

Avec une première partie située en 1994, Fear Street amorçait une nouvelle trilogie horrifique de manière peu probante. Malgré un potentiel de départ indéniable, l’hommage aux slashers des 90’s s’est embourbé dans un traitement confus où la production souhaite contenter tous les profils de spectateur ; des adolescents aux amateurs du genre, sans oublier le grand public. Entre...
Razorback

Razorback

Comme bien d’autres sous-genres du cinéma horrifique, le survival animalier a gagné ses lettres de noblesse au cours des années1970 - 1980. Des requins aux crocodiles, en passant par les araignées ou même les hominidés, le bestiaire se focalise essentiellement sur les prédateurs. En revanche, centrer l’intrigue autour d’un sanglier géant reste une première quand Razorback pointe...
Atomic Shark

Atomic Shark

Moins connue que ses confrères décérébrés de chez SyFy ou Asylum, la société de production Tomcat n’est pourtant pas avare en bobines méphitiques. Des métrages horrifiques montés avec trois bouts de ficelles et des idées au ras des pâquerettes. En de telles circonstances, il n’est guère étonnant qu’ils aient accouché d’un des pires films de requins jamais réalisés:...
Ghost in the shell - Stand alone complex : Le rieur

Ghost in the shell - Stand alone complex : Le rieur

Réalisé un an après la sortie d' Innocence , ce long-métrage intitulé « Le rieur » n'est pas la suite directe de Second Gig , mais bel et bien un montage de la première saison résumé en l'espace de 2 h 40. La première crainte réside dans l'éventuelle édulcoration de l'intrigue au détriment de la compréhension générale. Certes, on l'avait vu précédemment, Stand...
Godzilla 2 : Roi des monstres

Godzilla 2 : Roi des monstres

En l’espace de deux métrages, le MonsterVerse s’est distingué par des œuvres foncièrement différentes. Derrière les apparats du blockbuster, chaque réalisation s’est forgée une identité qui s’écarte sensiblement des approches basiques et sans âme. Pour Godzilla premier du nom, l’hommage aux films de kaïjus s’est doublé d’une formidable ambiance...

Devinez le film par sa tagline :

Evil's in the house.
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