Critiques du film Love in the Big City 3 ([field_annee])

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The Witch

The Witch

Si la sorcellerie a nourri nombre de fantasmes à travers les siècles, le cinéma a tôt fait de s’en approprier les grandes lignes. Sous l’angle de l’horreur, du drame, de la comédie ou du fantastique, le thème s’est décliné sous toutes les coutures, quitte parfois à sombrer dans la médiocrité. Pour autant, contes et légendes possèdent une aura particulière propre à...
The legend of Boggy Creek

The legend of Boggy Creek

Les films relatant les méfaits du bigfoot ou du sasquatch ont pris leur essor dans les années 1970. The Legend of Boggy Creek s’avance comme le fer de lance de ce sous-genre du survival animalier. Son succès a suscité bon nombre de vocations par la suite ; certaines plus dispensables que d’autres. S’appuyant sur de véritables témoignages et des faits divers, l’intrigue...
Stake Land

Stake Land

A l'époque de ma critique de Mulberry Street , j'avais déjà loué la capacité du réalisateur Jim Mickle à tirer le maximum des maigres moyens mis à sa disposition et force est de constater qu'avec Stake Land , il a encore augmenté son niveau d'un cran, en gommant les imperfections de son précédent essai. Ce faisant, il réalise le sans-faute, propulsant son road-movie vampirique au rang de film à...
Body Trash

Body Trash

Sorti en 1993 et rebaptisé Body Trash en France (sans doute en clin d’œil au cultissime Street Trash ), Body Melt est un OVNI aussi visqueux que déjanté, fruit d’un croisement improbable entre satire sociale, body horror et comédie grotesque. Deuxième et dernière oeuvre de Philip Brophy (après Salt, Saliva, Sperm and Sweat ), artiste touche-à-tout issu de la scène underground australienne, ce...
Evil Toons - Qui a peur du diable?

Evil Toons - Qui a peur du diable?

Si l’on en croit l’accroche publicitaire autour du film, Evil Toons se situerait entre Evil Dead et Qui veut la peau de Roger Rabbit ! Dans un sens ce n’est pas totalement faux mais cela s’arrête aux idées de base de ces deux films qui sont recyclées sans pour autant parvenir à reproduire la terreur du film de Sam Raimi, ni le fun et l’exploit technique de celui de Robert Zemeckis. Quatre jeunes...

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